Description
Breaking Bad
Créateur : Vince Gilligan
Distribution : Brian Cranston, Aaron Paul, Dean Norris, Anna Gunn...
Synopsis : Walter White, un professeur de chimie sans histoire est diagnostiqué cancéreux, il réfléchit et se dit qu'il faut qu'il assure un avenir a sa famille. Ce savant décide donc d'utilisé son dont pour la chimie a des fins malsaines en fabriquant de la méthamphétamine.
Avis
Que vous soyez fan de séries ou juste un occasionnel du petit écran, vous connaissez Breaking Bad et en pensez très certainement du bien ou en avez entendu bien des éloges. Alors pourquoi devrai-je vous en donner mon avis ? Et bien parce que ça me tiens à cœur! Que pourrai-je rajouter à tous ce qui a déjà été dis? Rien! Que foutez-vous encore ici? J'en sais rien!!! Je vous invite donc à cliquer sur le petite croix rouge en haut à droite de votre écran, surtout si vous n'avez pas encore découvert par vous même ce chef d’œuvre... Bon j'ai quand même envie d'en dire ce que j'en pense...
Commençons par le commencement : le pilote! Un épisode bad-ass et assez représentatif de la série : une mise au scène rafraichissante, une belle photographie, des scènes absolument cultes et un jeu d'acteur très convainquant.
Dans cet article, je considère que vous avez déjà vue la série, donc inutile de vous faire un résumé de l'histoire. Surtout qu’étonnamment, elle n'est pas au centre de l'intrigue. Les personnages, leurs parcours psychologiques, en particulier les parcours de Walter et de Jesse, est le réel fil rouge de la série.
Walter White, un professeur de seconde zone en quête d'argent pour sa famille car il est atteint d'un cancer se lance dans la confection de méthamphétamine, a se stade on est encore compréhensif en vers lui, après tout il ne veut que le bien de sa famille et se sacrifie moralement pour elle, comment ne pas être de son coté ! Mais peu à peu il veut plus, il finit par tué soit pour s'en sortir, soit en pensant faire le bien et fini par travailler avec Gus qu'il tue avec l'aide de Jesse car c'est vraiment un vilain ce Gus bien que son coté humain, pas seulement méchant nous soit montré, ce qui fait que l'on ressent même plus d'empathie pour lui que pour Walter (ce quii est assez perturbant et très bien mis en place), mais on reste fidèle a lui, car on souhaite qu'après la période Gus, il revienne à la raison.Malheureusement il en est tout autre, il idolâtrait Gus comme homme d'affaire, voyant en lui un égal, ça mort (qui dénote complétement de la série qui se veut tout de même réaliste) ne fait que le transcender d'avantage et il se met à l'imiter, notamment son train de vie (belle voiture, montre de luxe...). Et c'est la que le liens entre Walter et le spectateur est coupé, il n'est plus que Heisenberg, un homme dangereux en particulier pour sa famille pourtant au centre de ces préoccupation par le passé.
Ça relation avec son entourage, avec Skyler le montre très bien, commençant par de petits mensonges, il en devient manipulateur et une sorte de dictateur lors de la saison final, tentant de renouer les liens avec sa femme et ses enfants de force. Obligent Skyler a choisir son camp, se coupant de Marie et Hank pour ces enfants.
Mais la principale victime de Heisenberg est belle et bien Jesse, un temps sa marionnette, est brisé et mort psychologiquement, certainement l'un des personnages les mieux travaillés et attachant que j'ai pu voir.
Walter White, un professeur de seconde zone en quête d'argent pour sa famille car il est atteint d'un cancer se lance dans la confection de méthamphétamine, a se stade on est encore compréhensif en vers lui, après tout il ne veut que le bien de sa famille et se sacrifie moralement pour elle, comment ne pas être de son coté ! Mais peu à peu il veut plus, il finit par tué soit pour s'en sortir, soit en pensant faire le bien et fini par travailler avec Gus qu'il tue avec l'aide de Jesse car c'est vraiment un vilain ce Gus bien que son coté humain, pas seulement méchant nous soit montré, ce qui fait que l'on ressent même plus d'empathie pour lui que pour Walter (ce quii est assez perturbant et très bien mis en place), mais on reste fidèle a lui, car on souhaite qu'après la période Gus, il revienne à la raison.Malheureusement il en est tout autre, il idolâtrait Gus comme homme d'affaire, voyant en lui un égal, ça mort (qui dénote complétement de la série qui se veut tout de même réaliste) ne fait que le transcender d'avantage et il se met à l'imiter, notamment son train de vie (belle voiture, montre de luxe...). Et c'est la que le liens entre Walter et le spectateur est coupé, il n'est plus que Heisenberg, un homme dangereux en particulier pour sa famille pourtant au centre de ces préoccupation par le passé.
Ça relation avec son entourage, avec Skyler le montre très bien, commençant par de petits mensonges, il en devient manipulateur et une sorte de dictateur lors de la saison final, tentant de renouer les liens avec sa femme et ses enfants de force. Obligent Skyler a choisir son camp, se coupant de Marie et Hank pour ces enfants.
Mais la principale victime de Heisenberg est belle et bien Jesse, un temps sa marionnette, est brisé et mort psychologiquement, certainement l'un des personnages les mieux travaillés et attachant que j'ai pu voir.
Le contraste entre un Walter White bien sous tout rapport à la maison et un Heisenberg apprenant maladroitement à devenir ... Heisenberg est captivant à voir et assez drôle par moment bien que ne se soit pas le propos de la série.
Concernant les 5 saisons, la première pause bien les bases et impose le style de la série, la seconde est assez morbide et déprimante, elle est plus centré sur les personnages que le deal-age, ce qui donne plus d'épaisseur à la famille White pour le reste de la série.
La troisième poursuit l'intrigue de la première, une intrigue que l'on pouvait penser enterrée avec la mort de Tuco mais qui en faite n'est que la prémisse d'un long conflit en Walter et Gus qui durera jusqu'à la fin de la saison quatre.
Enfin, la saison final, en 2 parties, la première où notre duo de choc tente de remettre le couvert en étant leurs propres patrons, mais très vite on se rend compte que ce n'est pas possible, Walter aillant trop changé et Jesse, un temps perdu trouve un modèle en la personne de Hank et le suit, bref ce duo ne pouvait plus fonctionner. Et une deuxième partie où tout se barre en cacahuète et tout deux tente de se sauver chacun a sa manière.
Et enfin de enfin, l'épisode final ! Un épisode que j'ai trouvé moins stylé que l'avant dernier avec la fuite de Walter mais bon. Une fin de saison un peu facile. La mort de Walter dans un labo après ça vengeance et la libération de Jesse, lui offrant une seconde chance dans la vie, sans lui, est plutôt logique.
J'aime le fait que Jesse n'obéisse pas à Walter alors que celui-ci le demande de le tué, cela montre qu'il c'est libéré de son emprise, on ne pouvait espérer mieux à son égard.
On peut croire que 5 saisons pour une série aussi bonne et avec un tel succès peut paraitre peu mais finalement cela ne lui a pas laisser de temps de s'essouffler.
Je vais revenir sur plusieurs choses qui mon marqués et que je n'ai pas réussis à caser ailleurs :
La relation entre Walter et Krazy et leurs dernier dialogue, très bien écrit qui a un coté Tarantino.
Dans l'épisode 11 de la saison 3, lorsque Gus menace Walter, celui ci fait les même expression que Salamanca (le toc de la bouche qui ondule), ce qui le montre piégé tous comme l'est l'ancien baron de la drogue en fauteuil roulant. A la fin de l'épisode la posture et l'angle du plan laisse a pensé que Walter est dans un cercueil.
Toujours dans la saison 3 mais me rappelle plus de l'épisode, l'explication du blanchiment d'argent de Saul à Jesse, une démonstration avec des objets du quotidiens bien pensé et très visuel.
Le sourire de Todd lorsque l'on vante le fait qu'il ai tué un gosse... Angoisse...
Pour terminer, la relation entre Jesse et l'enfant (roux) des 2 camés.
Concernant les 5 saisons, la première pause bien les bases et impose le style de la série, la seconde est assez morbide et déprimante, elle est plus centré sur les personnages que le deal-age, ce qui donne plus d'épaisseur à la famille White pour le reste de la série.
La troisième poursuit l'intrigue de la première, une intrigue que l'on pouvait penser enterrée avec la mort de Tuco mais qui en faite n'est que la prémisse d'un long conflit en Walter et Gus qui durera jusqu'à la fin de la saison quatre.
Enfin, la saison final, en 2 parties, la première où notre duo de choc tente de remettre le couvert en étant leurs propres patrons, mais très vite on se rend compte que ce n'est pas possible, Walter aillant trop changé et Jesse, un temps perdu trouve un modèle en la personne de Hank et le suit, bref ce duo ne pouvait plus fonctionner. Et une deuxième partie où tout se barre en cacahuète et tout deux tente de se sauver chacun a sa manière.
Et enfin de enfin, l'épisode final ! Un épisode que j'ai trouvé moins stylé que l'avant dernier avec la fuite de Walter mais bon. Une fin de saison un peu facile. La mort de Walter dans un labo après ça vengeance et la libération de Jesse, lui offrant une seconde chance dans la vie, sans lui, est plutôt logique.
J'aime le fait que Jesse n'obéisse pas à Walter alors que celui-ci le demande de le tué, cela montre qu'il c'est libéré de son emprise, on ne pouvait espérer mieux à son égard.
Je vais revenir sur plusieurs choses qui mon marqués et que je n'ai pas réussis à caser ailleurs :
La relation entre Walter et Krazy et leurs dernier dialogue, très bien écrit qui a un coté Tarantino.
Dans l'épisode 11 de la saison 3, lorsque Gus menace Walter, celui ci fait les même expression que Salamanca (le toc de la bouche qui ondule), ce qui le montre piégé tous comme l'est l'ancien baron de la drogue en fauteuil roulant. A la fin de l'épisode la posture et l'angle du plan laisse a pensé que Walter est dans un cercueil.
Toujours dans la saison 3 mais me rappelle plus de l'épisode, l'explication du blanchiment d'argent de Saul à Jesse, une démonstration avec des objets du quotidiens bien pensé et très visuel.
Le sourire de Todd lorsque l'on vante le fait qu'il ai tué un gosse... Angoisse...
Pour terminer, la relation entre Jesse et l'enfant (roux) des 2 camés.
Un chef d'oeuvre ! En quelques mots :
"YO, BREAKING BAD B-WORD!"
Je souhaite m'excuser pour la qualité d'écriture non présente surtout dans cet article, surement le plus mal écrit de tous.
RépondreSupprimerLa motivation de l'écrire à été compliqué a trouver mais maintenant c'est fait et je ne le regrette pas.
(Le premier commentaire sur ce blog est de moi ! qui le cru... je n'attend pas de réponse :D)
HEY HEY je peux me répondre à moi même !
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