Pulp Fiction Sortie en 1994, écrit par Roger Avary (a aussi écrit : La légende de Beowulf, True romance) et Quentin Tarantino (Django unchained, Inglorious bastards, Reservoir dogs) et réalisé par celui-ci, met en scène 3(voir 4) histoires coupés en chapitres qui s'entremêlent et se rejoignent, donnant ainsi une structure non linéaire au film.
Selon
Wikipedia, il est décrit comme un film de gangsters et une comédie
noire, ce qui est ma fois correct (on peut dire qu'un énorme travail
a été fourni pour que ce post voie le jour).
Il
est bon de souligné aussi qu'il s'agit du film indépendant le plus
rentables de tous les temps, il a rapporté 214 000 000 $ pour un
budget de 8 000 000 $, prend ça Hollywood !
Il
nous plonge dans le quotidien d'une organisation malsaine de Los
Angeles dirigé par Marsellus Wallace (Ving Rhames), imposant, sans
scrupule, chauve, bref un méchant.
Alors
le film commence dans un restaurant dans lequel Pumpkin (Tom Roth) et
Yolanda (Amanda Plummer), un couple de malfrats dîne en planifiant
leur prochain coup tordu.
Leurs
vient alors l'idée de braquer ce même restaurant, sortent leurs
armes et mettent en joug des clients médusés. Générique !
Welcome in Pulp fiction ! Les bases sont posées, le décor
planté.
Comme
je l'ai écrit précédemment, le film est coupé en 3 chapitres :
The Bunny Situation: on fait la rencontre de Vincent Vega (John Travolta) et Jules Winnfield (Samuel L. Jackson) tous 2 hommes de main de Marsellus chargés de récupérer une mallette au contenu mystérieux (in fact une ampoule).
Vincent Vega and Marsellus Wallace's Wife: Vincent est chargé d'occuper Mia, la femme de Marsellus lors d'une soirée riche en événement.
The Gold Watch: Butch Coolidge (Bruce Willis) s'est vue offrir un peau-de-vin par Marsellus Wallace pour se coucher lors de son prochain match de boxe, mais tous ne se passera pas exactement comme prévu...
Le
film a pour moi 3 grandes forces, son casting, sa mise en scène et
ces dialogues.
Tarantino
a le don de montrer le meilleur des acteurs avec qui il travail,
comme avec John Travolta que je trouve parfais dans le rôle de
Vincent, un rôle de méchant (comme la quasi totalité des
personnages en faite), assez lent et plutôt idiot ce qui le rend au
final attachant. Samuel
L. Jackson a un rôle assez similaire bien que son personnage soit
plus intelligent ou moins bête. Bruce Willis était idéal pour le
rôle de Butch alors rien à dire. J'ai découvert Uma Thurman dans
Pulp Fiction et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle est une
immense actrice, elle apporte beaucoup de prestance a son personnage
qui crève tous simplement l'écran. Harvey Keitel (Winston Wolfe)
que l'on avait déjà vue dans Reservoir Dogs prouve encore une fois
qu'il est un acteur formidable. Les Duos sont vraiment
complémentaires et ce sublimes les uns des autres, que se soit Jules
et Vincent, Butch et Fabienne (Maria de Medeiros) ou encore
Pumpkin et Yolanda.
Mention
spécial pour Christopher Walken (Capt. Koons), qui fait une petite
apparition dans une scène de monologue qui est culte, une apparition
qui me fais beaucoup penser a celle qu'il a eu dans True romance bien
qu'elle soit différentes.
Une
mise en scène superbe, très sobre, peu de mouvements de caméras,
beaucoup de plans éloignés fixes (jamais vraiment fixes, je me comprends) et
de gros plans mettant vraiment bien l'accent sur situations que
traverse nos différents protagonistes. Je retiens surtout la scène
du restaurant Jackrabbit Slim's où la caméra nous fait
découvrir ce lieu en même temps que Vincent, ainsi que la scène de
panique chez le dealer un peu après.
La
mise en scène se combine d'ailleurs très bien avec les nombreuses
scènes de dialogues, très bien écrites, sans
forcément de rapport direct avec l'intrigue, qui restes cultes.
(Lors de la scène de retrouvaille entre Butch et Fabienne par
exemple).
Bref
Hormis
quelques faux raccords, qui auraient pus être évités (que l'on
pardonne volontiers vue le faible budget dont le film a bénéficié),
le film est grandiose, GRANDIOSE !
Beaucoup
de clins d’œil à la culture populaire américaine, sombre,
sadiquement drôle, du sexe (… très peu voir pas du tous en
faite), de la drogue, de la violence parfois gratuite (on aime ça),
de la parlote et encore de la violence !
Un
film culte qui ma énormément marqué, voilà pourquoi mon premier
article (d'amateur sans prétention vraiment) devait être pour ce
film. Alors merci d'être indulgent.
N’oubliez
pas, tout est bon dans le Pulp Fiction !
En
espérant vous avoir agréablement occupés, je vous souhaite,
cinéphiles ou simple visionneurs du dimanche, mes sincères
salutations.
autant
pour moi.



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